Virginie

Virginie

Un petit peu de moi…

Amoureuse de la lumière, des couleurs, des oppositions et des contrastes, des lignes…

Originaire d’un petit village de Franche-Comté, j’ai dès l’enfance été mise au contact d’une nature sauvage, contrastée, dure parfois mais époustouflante toujours.

On dit que ce qui compte dans l’enfance, compte pour toujours…

Aussi, l’émerveillement qui m’a envahi alors, ne m’a plus jamais quittée et je n’ai eu de cesse d’essayer de « croquer » le sublime qui s’offrait à moi dans chaque levé de soleil, dans chaque oiseau qui passe, dans chaque fleur, dans chaque cheval lancé au galop.

Quand d’autres avaient des activités bien de leur âge, je m’essayais moi à la poésie, à la peinture à l’huile.

Je partais avec mon chevalet sur l’épaule et me plantais tel un Monet en herbe au milieu des champs de coquelicots pour les cueillir sur la toile.

J’ai toujours aimé ces moments de solitude où me fondre avec la nature, ne faire plus qu’un avec elle, en plus de m’apporter un sentiment profond de liberté, me permettait aussi en me perdant en elle, de mieux me retrouver.

« Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les dieux » disait Socrate. Cela marche aussi à l’envers : connais le monde, n’aie de cesse de t’émerveiller devant lui et tu te connaîtras toi-même.

Enfant, il y avait deux chevaux derrière chez moi, deux juments que je n’avais de cesse de dessiner : Cajoline et Opaline.

Dès que j’en ai eu la possibilité, j’ai appris à monter à cheval puis me suis acheté des chevaux et c’est donc tout naturellement qu’ils sont devenus mes sujets de prédilection. Leur grâce, leur force, leur capacité à nous comprendre m’ont toujours fascinée.

Adulte ensuite, j’ai constamment eu à la main un appareil et essayé de capter chacun des moments précieux de la vie comme pour les mettre en cage et les garder à jamais. Mon fils a été un sujet d’inspiration sans fin.

Physalis…. L’amour en cage. Boitier… La vie, la beauté du monde, en cage.

Et puis, il y a trois ans, j’ai décidé de sauter le pas. Je me suis inscrite dans un club photo pour apprendre la photo pour de vraie et ne plus laisser le hasard faire parfois bien les choses car il n’était plus question de manquer un seul moment précieux en ne réussissant pas à le figer.

Un petit crochet par l’Irlande et plus de vingt années en Occitanie pour m’imprégner encore de tout ce que le monde a de beau à nous offrir et me voici depuis 2023 de retour chez moi.

Amoureuse des émotions et des connexions

N’allez pas croire que l’amour de la solitude irait de paire avec une sorte de misanthropie. Bien au contraire, quand on aime la vie, on aime ceux qui l’habitent, on aime les gens. L’exil est un mal nécessaire pour mieux les apprécier.

Pas un mariage, pas un film à l’eau de rose qui ne me fasse verser ma petite larmette ; pas un petit pied de bébé qui me donner envie de l’embrasser, pas un rire d’enfant qui ne me réchauffe le cœur.

J’aime les émotions fortes, les sentiments, les interactions entre les gens.

J’aime les voir vivre tout simplement.

Depuis l’année dernière, je me suis également mise à la vidéo qui est une approche permettant de retranscrire plus encore les émotions et par un montage travaillé, soigné, de sublimer l’instant vécu.

Allez, assez parlé.

Vous voulez découvrir mon univers … entrez, entrez donc…